Les nuisances sonores et ses effets sur l’environnement
Le silence qui règne dans un endroit paisible loin des bruits de circulation peut être estimé en décibels. Si cette tranquillité peut être chiffrée entre 30 et 50 dB, on parle de nuisance sonore au-delà d’un seuil de 80 dB qui correspond à une rue à fort trafic. Si c’est le cas, il est donc vrai que notre environnement quotidien connait une nuisance sonore notable si l’on ne parle que le son de la musique en discothèque, du vrombissement de la tondeuse ou du bruit dans les aéroports. Quels sont les effets de la pollution sonore sur l’environnement. Les détails dans cet article.
L’impact de la nuisance sonore sur l’audition
La surdité n’est pas une conséquence immédiate de la pollution sonore. Toutefois, on peut constater une perte progressive de l’audition qui ne peut plus être améliorée par un traitement médical. Une forte exposition aux bruits dépassant les 100 dB aggrave la situation. Tel est le cas pour les fans de discothèque, les intermittents du spectacle et les abonnés de baladeurs.
La perte de concentration et de rendement physique
Il est aussi constaté que les sujets affectés par les nuisances sonores ont de grands troubles du sommeil, ce qui les rend assez hypertendus. Ils stressent facilement, baissent rapidement de tonus et perdent toujours leur concentration.
Les impacts psychologiques des nuisances sonores
Mis à par les effets physiologiques, la pollution sonore génère également des troubles psychologiques sur un individu, à savoir des gênes, des difficultés à contrôler ses émotions, des manifestations soudaines d’anxiété, d’agressivité et de dépression.